Newsletter d'octobre
Editorial d’octobre de Yveline
Un grand bonjour à tous mes lecteurs, et merci de rester fidèles... :)
Tout d’abord, j’aimerais vous parler du Forum des Associations qui a eu lieu, cette année, le 6 septembre, à Carry-le-Rouet. C’est un réel plaisir de découvrir toutes ces associations de bénévoles qui proposent aux Carryens et Carryennes ainsi qu’aux habitants des communes proches, un très grand nombre d’activités, tellement variées qu’un emploi du temps, même de Retraités « boomers*», n’y suffirait pas ! :)
Au passage, je me demande ce que deviendrait notre pays sans tous ces bénévoles qui donnent de leur temps et de leur énergie, avec un bel enthousiasme, même lorsqu’ils sont retraités ! Pour le plaisir de continuer à vivre et partager leurs passions (et en découvrir de nouvelles) juste pour le plaisir et pour donner plus de sens à leur existence ? Ce n’est quand même pas par hasard qu’elles sont reconnues « d’utilité publique », non ? Reconnaissance et MERCI à eux !
Ce dimanche 6 septembre, donc, le stand Carry Voile était tenu, comme il se doit pour bien représenter notre association, par des skippers et surtout des équipières, tous des passionnés*. Les demandes de renseignements ont été nombreuses et les échanges très agréables. Mais il reste quelques éclaircissements ou rappels à apporter. Par exemple :
Plusieurs parents se sont présentés pour inscrire leurs enfants, de moins de dix-huit ans. Pour Carry Voile, ce n’est pas possible, pour des raisons règlementaires d'encadrement des mineurs. En revanche, ils peuvent être inscrits dans une école de voile, ce que nous ne sommes pas. Mais il y en a une à Carry, située sur le port du Rouet : l’AVCR, association présente également au Forum, vers qui nous les avons donc redirigés (Cf. site internet AVCR).
Carry Voile met en relation des skippers possédant un voilier avec des équipiers, novices, débutants ou confirmés, désirant voguer sur les flots de la Côte bleue, en toutes saisons (sauf courte pause estivale) au départ des ports de Carry-le-Rouet et de Sausset-les-Pins.
A tous ceux qui n’avaient donc pas consulté notre site, nous avons rappelé avec plaisir ces principes de base de Carry Voile et tous les aspects financiers :
La pratique de la Voile nécessite la Licence de la Fédération française de Voile (FFV) obligatoire pour les assurances (72,00 euros) ; la cotisation annuelle à Carry Voile est gratuite pour un équipier de 18 à 25 ans, puis de 52 euros et de 20 euros pour le propriétaire d’un voilier. Si vous vous inscrivez avant le 31 décembre 2025 la période jusqu’à cette date sera gratuite et votre inscription sera valide pour toute l’année 2026.
Les sorties Carry Voile ont lieu le mercredi, le samedi et un dimanche par mois, mais uniquement si la météo le permet. Elles sont confirmées ou pas, la veille au soir, par le Vice-président, Denis S., skipper et propriétaire de Larga II.
Certains se sont alors étonnés de cette belle opportunité pour tous les amateurs de Voile, mais nous ont demandé quel pouvait être l’intérêt de s’inscrire à Carry Voile pour un propriétaire de voilier. C’est là que réside l’essence de notre association : Les skippers de Carry Voile aiment naviguer régulièrement, qu’ils soient Retraités ou pas, et ce sont des passionnés qui souhaitent non seulement faire partager leur passion mais aussi la transmettre.
La première « Sortie Découverte » (gratuite) que propose Carry Voile est faite pour ça : tout d’abord, vous pourrez vérifier que vous n’avez pas le mal de mer. Ensuite vous pourrez découvrir que vous avez envie de faire plus qu’une promenade et on vous fera participer aux manœuvres d’un voilier. Enfin vous apprécierez de prendre part aux plaisirs de la convivialité : les escales dans les calanques avec plusieurs de nos voiliers, à couple, ont donné lieu à de très bons moments de partage de repas, à des baignades loin des plages surpeuplées et à des récits, des anecdotes, des rires, des propositions d’entraide ainsi que de bonnes adresses pour entretenir, améliorer ou réparer les voiliers, ou autre.
Repas sur un bateau à moteur qui nous accueille parfois !
De plus, deux fois par an, les soirées Repas, organisées par Carry Voile permettent de réunir les adhérents et leurs proches dans le même esprit, et, une fois par mois, les soirées Formation permettent de consolider ou de perfectionner la connaissance de la Mer et les connaissances indispensables à une Plaisance sécurisée, civilisée, donc agréable.
Vous retrouverez tous ces renseignements en détail et de nombreuses photos et vidéos sur notre site internet, que je vous engage à visiter : http://wwwcarryvoile.fr
*Notes :
1) Un anglicisme utilisé par des économistes ; Les « boomers » seraient les personnes nées entre 1945 et 1965 environ, issues du « baby-boom » une période où le taux de natalité est fortement remonté, après la seconde guerre mondiale. Ce terme est employé de façon péjorative puisqu’il désignerait leurs habitudes de consommation de masse et la société des loisirs qu’ils auraient créées et toujours connues (?) et il dénonce la charge que représenterait le paiement de leur Retraite pour ceux que l'on nomme les « actifs ». Sans commentaire !!
2) Non je n’écrirai pas « passionné.es » très à la mode dans la Presse : un prétendu respect pour le féminin, qui complique encore une orthographe qui n’en a vraiment pas besoin (parole de prof de lettres). Et même si on nous a appris, pour simplifier : « en grammaire c’est le masculin qui l’emporte », on peut éclaicir et répondre que ce n’est pas uniquement du masculin puisque dans le passage du latin au français, masculin et neutre ont été associés.
Voiliers dans la Baie de Marseille
Vous aimeriez faire de la voile mais vous craignez d’avoir le « mal de mer » ?
« Le mal de mer » porte le nom scientifique de naupathie, du grec ancien naûs = navire et du suffixe -pathie, utilisé pour désigner des affections ou des maladies. Comme pour le vertige ou le mal des transports, il est dû à un dysfonctionnement de l'oreille interne.
Imaginez une personne assise dans un bateau, sans bouger. Ses muscles envoient des signaux à son cerveau indiquant la position de son corps. Pourtant, son appareil vestibulaire (= son oreille interne) indique à son cerveau qu’elle bouge, car il détecte le mouvement du bateau. C’est ce conflit d'informations qui peut provoquer des symptômes de mal de mer, plus ou moins importants et parfois invalidants.
Ce mal de mer est donc dû à une désynchronisation de nos yeux et de la perception (le plus souvent inconsciente) que nous avons de la position de notre corps dans l'espace, nommée proprioception. Ces informations contradictoires que le cerveau reçoit, il ne peut les traiter correctement. De ce conflit sensoriel résulte les désagréables effets du mal de mer, à savoir : nausées, vertiges, frissons, vomissements... Lors de longues croisières, dans au moins neuf cas sur dix, ce mal disparaît souvent après deux ou trois jours : c’est ce que l’on appelle l’amarinement. Mais dans le cas contraire, il faut veiller à ce que la personne ne se déshydrate pas et parfois écourter la croisière, au moins pour elle.
En fait, ce mal touche 25 à 30 % des personnes et jusqu’à 20 % à 80 % d’un équipage en cas de conditions météorologiques extrêmes ! Ce qui ne devrait pas arriver lors d’une Sortie Carry Voile puisqu’en pareil cas, elle est annulée*. Mais la météo est parfois capricieuse et il faut reconnaître que toute personne peut être éprouvée par le mal de mer, occasionnellement, un jour dans sa vie ou même en souffrir toute sa vie. Il est important de savoir que petits comme grands navigateurs peuvent être touchés par ce mal : pas moins de 40 % des skippers du Vendée Globe reconnaissent avoir eu le mal de mer durant leur navigation. Regardez les photos et les vidéos de Violette Dorange, sur YouTube…
Mais pour réaliser votre « Sortie découverte », il n’est pas question de croisière, juste de naviguer quelques heures avant de vous décider à adhérer à Carry Voile ! :)
Que faire si vous savez déjà que vous souffrez du mal de mer et comment lutter contre ?
On peut trouver de nombreuses méthodes ! Chacun a la sienne, qu’il juge la meilleure, évidemment. Certaines sont amusantes mais peu justifiables scientifiquement, d’autres paraissent plus efficaces. :)
Tout d’abord, prenez soin de vous, comme on aime le dire si souvent aujourd’hui, et préparez bien votre sortie pour éviter le mal de mer ou toutes sortes de désagréments. Pour cela la règle des trois F est importante : éviter la fatigue, la faim, le froid. Et j’ai connu une Capitaine qui en rajoutait deux : la Frousse, mais aussi la Frime, du genre : « Moi, malade ? Jamais ! » :)
Voici les préconisations de Carry Voile pour naviguer avec plaisir :
La mer fatigue : essayez de bien dormir la nuit qui précède pour vous éviter une fatigue excessive, et, que vous en ayez l’habitude ou pas, prenez un petit-déjeuner équilibré, rassasiant, mais sans excès.
Pour éviter le froid (ou le chaud), dans votre sac, pensez à prévoir tous les temps : un coupe-vent ou une veste de quart pour vous présever du vent ; un couvre-chef : capuche, chapeau, casquette ou bonnet selon la saison ; des gants ; une écharpe ou un col haut et couvrant en hiver et, comme les oignons, de quoi rajouter (ou enlever) une épaisseur. Des chaussures fermées pour protéger vos orteils, à semelle blanche et propre, réservées au bateau : le ou la capitaine appréciera ! Pour préserver vos yeux, même par temps nuageux, portez des lunettes de soleil de catégorie 3 (les verres teintés en bleu conviennent mieux à la Mer)
• Dans une de vos poches, des aliments sains et pratiques : quelques fruits secs, une banane, ou, comme les marins chinois depuis la nuit des temps, du gingembre confit si vous aimez... mais de simples bonbons, (sans sucre du genre Ricola) vous feront saliver suffisamment pour éviter une sécheresse de la bouche qui fait toussoter.
• En mer, pensez à bien vous hydrater : avec une gourde d’eau personnelle, très régulièrement. Ne buvez pas d'alcool, et limitez le café qui peut donner la nausée.
• Si vous sentez un malaise arriver, détendez-vous : faites quelques respirations lentes et profondes, dites "physiologiques" : inspirez en gonflant le ventre et expirez avec la bouche.
• Sur le pont Moussaillon ! Pour ne pas subir le mouvement du bateau, soyez-en l’acteur. Rester dans le carré ne vous aidera pas, au contraire, l’air du grand large est votre allié.
• Essayez de fixer un point à l’horizon, à l’avant du bateau, pour stabiliser votre équilibre et parlez ou réalisez des manœuvres en équipe pour faire diversion.
• Des lunettes spéciales viennent d’être commercialisées : dans leurs branches épaisses un gel liquide bleu fluctue au rythme du bateau et permet de rétablir les informations de votre oreille interne. D’après certains de nos adhérents, elles sont efficaces. Un dispositif médical breveté "Boarding glasses" est reconnu par MAIF Social Club (les opticiens que je suis allée voir n’en avaient pas, je ne les ai trouvées que sur internet avec de très grands écarts de prix). A tester. N’hésitez pas à nous en confirmer (ou pas) l’efficacité dans les commentaires de la Newsletter.
• En cas de mauvais temps, suivez bien les consignes du Capitaine, mettez votre gilet de sauvetage si vous ne l’avez pas encore fait, et essayez de rester calme : le stress est un facteur déclenchant du mal de mer. Occupez-vous l’esprit à tout prix : en tenant la barre ou en observant le barreur et en participant aux manœuvres que vous maîtrisez bien, par exemple. Mais pour vous rassurer, vous pouvez aussi rester le plus près possible du mât : le centre du navire est l’endroit du bateau qui demeure le plus stable. Dans les déplacements, assurez toujours votre propre sécurité : "une main pour vous, une main pour le bateau !"
• De nombreux médicaments existent pour diminuer les nausées : homéopathiques, antihistaminiques ou agissant sur l’oreille interne (Mercalm, Nausicalm, Nautamine, scopoderm, etc.). Le capitaine en garde toujours dans la pharmacie de bord.
• Si vous avez vomi, pensez à vous réhydrater. Ensuite, un simple bonbon à la menthe ou de l’alcool de menthe sur un sucre peuvent vous apporter une sensation de fraîcheur.
• Au mouillage, si vous avez vraiment sommeil : vous pouvez essayer de somnoler ou de dormir un peu. Le must : un hamac, car il permet d’absorber les mouvements, en partie.
Evidemment, toutes ces recommandations font la part trop belle aux inconvénients mais elles servent à mieux apprécier la mer ! Il n’est donc pas inutile de les avoir lues avant une première sortie.
Par beau temps, pensez à ajouter dans votre sac, maillot de bain, masque et tuba ou autres ! :)
*IMPORTANT : Les personnes qui s’étaient inscrites pour « la Sortie découverte » proposée le jour du Forum ont fait la malheureuse expérience des caprices de la météo, puisque cette sortie, qui devait avoir lieu le samedi suivant, a dû être annulée. Mais ce n’est que « sortie remise » car nous avons gardé vos coordonnées. Elle aura lieu dès que possible, à votre convenance. Denis S., responsable de la sécurité des sorties, vous recontactera…
Mes conseils de lecture pour octobre :
Un roman graphique de Catel et Bocquet, édité chez Casterman en 2024 : Anita Conti. Ces deux auteurs ont déjà travaillé sur plusieurs biographies (Alice Guy, Olympe de Gouges, Joséphine Baker). Dans ce roman, ils mettent une nouvelle fois en lumière une femme au parcours singulier, courageux et d’avant-garde. Le scénario de José-Louis Bocquet respecte la vie d’Anita, faits historiques et moments intimes, pour nous donner une vision complète de sa personnalité, en transmettant bien les difficultés auxquelles elle a dû faire face en tant que femme scientifique, dans un monde dominé par les hommes. Les illustrations, de Catel Muller, sont en noir et blanc.
Peut-être y découvrirez-vous, comme moi, une femme peu connue du public, alors qu’elle a été une pionnière de l’océanographie appelée « la Dame de la Mer ».
Anita Conti, nom de naissance Caracotchian (1899 – 1997)
Elle a grandi dans une famille aisée, à mi-chemin entre la région parisienne et la Bretagne, où elle a découvert et appris à aimer l’océan. Mais la grande Histoire a toujours eu une influence sur notre histoire personnelle : à partir de 1914, alors que la Première guerre mondiale éclate, la famille Caracotchian préfère s’installer sur l’île d’Oléron. Anita y confirme son amour du large : « Si je n’étais pas portée par la mer de temps en temps, je serais morte.» Sur l’île d’Oléron, Anita fréquente des enfants de pêcheurs et parfois, elle embarque avec eux. Fascinée par l’univers maritime, elle pratique ensuite la Voile. Une passion de la mer qu’elle gardera jusqu’à la fin de ses jours, avec la lecture et la photographie. Par la suite, Anita Caracotchian s’installe à Paris en tant que relieuse d’art, un univers où elle excelle. Mais elle n’en oublie pas l’écriture et la photographie, et elle les relie à l’océan, en réalisant des reportages, en textes et en images, sur le métier de pêcheur, pour le quotidien la République. Cette activité lui permet ainsi de continuer à passer beaucoup de temps sur des bateaux. En 1927, Anita épouse le diplomate Marcel Conti et le nom de celui-ci devient alors son nom d’usage.
A force de naviguer, de lire et d’écrire, Anita Conti devient une véritable spécialiste du monde de la pêche. Lors de ses nombreuses campagnes et excursions, elle relève des paramètres indispensables pour dresser des cartes de zones de pêche, tels que la température ou la salinité de l’eau. Ses articles lui vaudront finalement d’être repérée par l’Office scientifique et technique des pêches maritimes, aujourd’hui Ifremer et, en 1934, elle y est engagée comme « responsable de la propagande ». En 1935, elle embarque à bord du Président Théodore Tissier, premier navire océanographique français ; elle y est la première femme océanographe, et elle sillonne les mers, avec son appareil photographique et ses carnets de mesure, pendant des décennies, pour alerter sur les dangers de la surexploitation des ressources maritimes et pour promouvoir une pêche durable.
En 1943, c’est le Gouvernement français d'Alger qui lui commande une recherche sur les ressources de poissons de l'Afrique de l'Ouest, ainsi qu'une étude pour développer la pêche traditionnelle. Pendant dix ans, elle étudie donc la nature de ces fonds marins, les rivages, les estuaires, les différentes espèces de poissons et leurs valeurs nutritives. Pour compenser toutes les carences en protéines des populations locales, elle s’efforce d’améliorer les les méthodes de pêche et les techniques de conservation. Elle fait installer des fumeries et des pêcheries, fondant même une pêcherie expérimentale de requins.
Mais par la suite, les institutions françaises ne soutenant plus ses initiatives, elle crée sa propre entreprise à Conakry, en Guinée, dans le but de poursuivre ses recherches pour favoriser une pêche qui améliore le régime alimentaire des populations locales, tout en préservant l’océan. Ce sont des difficultés financières causées par les violentes tempêtes ayant détruit ses installations dans les années 1950, qui décident Anita Conti à rentrer en France.
Mais ses convictions persistent et elle s’insurge contre l’impact de la pêche intensive causée par de trop gros navires usines, en publiant Racleurs d'océans*, Paris, 1953 éd. André Bonne, plusieurs fois réédité par la suite. A cette occasion, elle fait la connaissance de Jean-Yves Cousteau (1910-1997) avec qui elle entretiendra des relations amicales régulières.
Dans les années soixante, elle propose donc d'élever des poissons pour la consommation des populations, ce qui favoriserait le repeuplement du milieu marin. Elle choisit alors de le prouver, en élevant des poissons en milieu naturel, dans des cages immergées, sur la côte adriatique, et, en mer du Nord, elle implante des fermes aquacoles, devenant ainsi une pionnière de l'aquaculture.
En 1971, elle publie L'Océan, les bêtes et l'homme*, où elle établit le bilan de ses recherches quant aux conséquences de l'activité humaine sur l'océan : une pression anthropique aux conséquences inquiétantes. De conférence en colloque, elle cherche à éduquer et à convaincre. Elle est donc la première femme océanographe dont le fils adoptif, Laurent Girault-Conti, plasticien, a promis d’assurer la transmission de ses valeurs et de toutes ses recherches.
Anita Conti est décédée le 25 décembre 1997, à Douarnenez, âgée de 98 ans. Selon ses dernières volontés, ses cendres ont été dispersées en mer d'Iroise.
Merci à Frank Colmant et sa compagne de m’avoir prêté ce livre pour mes vacances, ce qui m’a permis de découvrir cette femme exceptionnelle !
*Note : son œuvre, sa bibliographie et ses photos sont très nombreuses. Vous pourrez les trouver facilement en librairie ou en bibliothèque. Vous pourrez également trouver de nombreuses vidéos sur YouTube, si vous désirez la voir et en savoir plus.
Les réponses au QUIZZ du mois de septembre :
1) Question de Joël : Mon voilier a 10° de gite et il est légèrement ardant, je souhaite avoir une barre plus neutre : que dois-je faire ? Choquer la GV.
2) Question de Yveline : Comme j’ai été le premier à reconnaître Ulysse après vingt ans d’absence, mon nom est aussi celui d’un repère très fiable. Qui suis-je ? Une balise Argos (le chien d’Ulysse).
Notre quizz du mois d’octobre :
1) Question de Denis : Dans une régate, au près, pour marquer un concurrent de très près, où dois-je me placer ? Devant ; à son vent ; au ¾ de son vent ou sous son vent ?
2) Question de Yveline : Les navires vikings (appelés drakkars au XIXe siècle) avaient des coques particulières, très efficaces pour affronter les vagues. Quel nom donne-t-on à la structure particulière de ces coques ?
Les événements et animations prévus par Carry Voile, au mois d’octobre :
Dans la salle de réception de l’Espace nautique Roger Grange, au premier étage,
Le dimanche 5 octobre de 12h à 17h : Notre Repas Paëlla (28 euros par personne), ouvert à tous les adhérents et leurs invités. Vous pouvez d’ores et déjà vous y inscrire sur le site Carry Voile. Attention : les places sont limitées.
Le vendredi 17 octobre de 18h à 20h30 : Soirée Formation (gratuite et ouverte à tous mais inscription obligatoire sur notre site) Tactiques et règles de Course. Elle sera assurée par Jean-Jacques Meslière, le président de Carry Voile. En prévision de :
Le samedi 18 octobre : dès 8h30 : Réunion préparatoire ou « briefing » du...
Deuxième challenge Carry Voile de l’année !
Après la course et la remise des prix, ce challenge se terminera avant 18h.
Sur ce, je vous dis à bientôt et, si vous venez nous rejoindre, je vous souhaite bon vent et belle mer !
Amicalement vôtre, Yveline.