Newsletter de novembre
Editorial de Yveline
Bonjour à tous. Comme vous le découvrez en ouverture, en octobre, nous avons eu le plaisir de nous retrouver autour du Repas paëlla. Si vous n’êtes pas venus, au moins, vous avez l’image. Mais pour le goût, je vous laisse l’imaginer. Et le regretter amèrement, tout seuls dans votre coin. Non, non, il ne faut pas venir vous plaindre, puisqu’on vous l’avait dit : il suffisait de vous inscrire, comme tous les ans, sur notre site. Cession de rattrapage : n’oubliez pas le prochain rendez-vous, le Repas-coquillage, au mois de mars. Mais vous pouvez compter sur moi pour vous le rappeler à temps...
Comme vous le voyez, les tablées étaient bien belles, décorées avec goût par Eva. Oui, le décor et la présentation comptent pour qu’une fête soit vraiment réussie. Tous les convives s’étaient fait beaux aussi (enfin presque) dans des tenues qui ne seraient pas adaptées sur un voilier. Parce que faire la fête c’est révéler une autre facette de soi ! Non, ne faites pas de frais, je ne vous ai pas dit « déguisés » mais juste au meilleur de vous-même, vous voyez ?
Revenons à plus grave. La veille, un vent trop fort avait fait annuler la compétition du Vire-Vire et il menaçait aussi d’empêcher le traiteur habituel de réaliser la paëlla sur place. Eole est capricieux et excessif en ce moment : avec lui c’est pétole ou tempête ! Mais s’adapter à la météo c’est bien l’esprit de Carry Voile : à la demande de Eva, le traiteur a donc réalisé la paëlla chez lui, à Caro, et l’a livrée Espace Roger Grange, avec l’aide des plus musclés d’entre nous, tout en permettant à nos participants du Vire-Vire de nous rejoindre avec plaisir. Une adaptation idéale, non ? Et une ambiance conviviale, comme nous aimons.
Eh oui, ce sont les suites de toute fête : débarrasser, partager les restes et nettoyer, peut aussi être très agréable, en bonne compagnie !
Comme sur les bateaux, quand nous mouillons dans les Calanques de Marseille pour des « apéritifs dinatoires ». Car Carry Voile, c’est aussi le plaisir de prévoir et de partager, chacun selon ses compétences et ses envies : passion de la mer et navigation ; tapas et gâteaux ; plaisanteries, anecdotes et culture locale (ou pas) ; récits de navigation ; conseils techniques et bonnes adresses, etc.
Repas sur Pégase, Calanque de Méjean
En échangeant nos points de vue, pour refaire le monde. En nettement mieux, évidemment !
Ce mois-ci, j’ai eu envie de mettre à l’épreuve les lecteurs qui ne picorent que des textes courts, pour leur donner faim de lectures nettement plus longues. Sans les ennuyer*… quel défi !
*N.B. Rassurez-vous, il y a des images et l’essentiel est en caractères gras ! :)
Normande d’origine, née à Dives-sur-mer, ville du premier départ pour l’Angleterre de Guillaume le Conquérant, c’est la Tapisserie de Bayeux qui m’a raconté, enfant, toute son épopée et elle m’a donné le goût de l’Histoire. En effet, les voyages scolaires pour visiter son château, à Falaise, puis contempler la Tapisserie, à Bayeux, étaient simples et peu chers à organiser : un filon pour l'Education nationale ! Un excellent moyen, effectivement, pour nous captiver en nous apprenant l’Histoire de France et d’Angleterre et être fiers de notre lieu de naissance ou de vie, Dives-sur-mer. J’ai envie de vous embarquer dans cette histoire, étroitement liée à la Mer et à la Voile.
Pendant la rénovation totale du Musée de Bayeux, fermé le 1er septembre 2025, il a été décidé d’envoyer La Tapisserie de la Reine Mathilde en Angleterre, jusqu’en 2027, pour qu’elle soit exposée au British Museum de Londres. Un transport très controversé, puisqu’elle va avoir mille ans ! Cette superbe « bande dessinée », puis brodée à la main a longtemps été nommée Tapisserie de la Reine Mathilde, parce que son initiative a été attribuée à l'épouse de Guillaume (en Pénélope attendant son Ulysse) mais elle a probablement été réalisée à la demande de Guillaume lui-même, par de nombreuses petites mains puisqu’elle mesure 69 mètres de long sur 50 centimètres de haut. Cette tapisserie monumentale raconte la préparation et l’épopée de Guillaume-le-conquérant, descendant des vikings*. En effet, plus d’un siècle auparavant, en 911, Charles le simple, roi de France carolingien, las des pillages, des destructions et des massacres de ces « hommes du Nord », avait concédé aux aïeux de Guillaume, une province inexploitée qui prit donc le nom de Normandie. Fidèles aux traditions des Vikings, leurs enfants recevaient tous une solide éducation, ils savaient aussi exploiter les terres, construire des villes, assécher les marais, faire du commerce grâce à leurs bateaux… et se battre. En quelques décennies, la Normandie était vite devenue une province prospère. Christianisés, les Normands s’étaient assagis, sédentarisés et ils avaient reconstruit les abbayes brûlées par leurs aïeux. Mais ils avaient gardé leur esprit de conquête. Or, juste de l’autre côté de la Manche, Edward, roi d’Angleterre, également de sang viking, souhaitait que Guillaume soit son héritier, mais le trône était déjà convoité par le beau-frère du roi Edward, Harold. Pour Guillaume, Harold ne constituait pas un obstacle à son ambition, puisque l’Angleterre était à la portée d’une flotte de navires vikings, armés pour la guerre. Il en fit donc entreprendre la construction, dont nous pouvons suivre la réalisation sur la tapisserie, étape par étape, comme si nous en regardions le film.
C’est la construction de cette flotte de navires vikings*, qui est à l’origine du succès de Guillaume le Conquérant, en 1066. Elle a pris plusieurs mois mais, respectant les structures habituelles des navires vikings, elle n’a posé aucune difficulté aux Normands, qui vénéraient Guillaume pour la prospérité et le rayonnement apporté à leur province, ni aux barons bretons, angevins, flamands, picards, poitevins ni même aux Normands de Sicile qui s’étaient ralliés à Guillaume-le-Conquérant ! Soit 15 000 hommes dont vous pouvez encore lire la liste qui figure toujours, gravée dans le marbre, à l’intérieur de l’église de Dives-sur-mer.15 000 hommes et 3000 chevaux, sur plus de 500 navires savamment construits pour conquérir l’Angleterre, certaines nefs pouvant contenir 600 hommes et transporter vivres, bétail, chevaux et armes : saluons l’exploit technique et l’organisation que cela suppose !
Mais en Mer, c’est toujours la météo qui décide et elle a failli leur jouer un mauvais tour.
Le 10 septembre 1066, malgré la tempête qui s’annonce déjà, toute la flotte est concentrée dans l’estuaire du petit fleuve côtier nommé La Dives. Comme la marée est haute, il faut qu’ils prennent le large car son niveau d’eau baisse considérablement à marée basse. Par la suite, la traversée de la Manche semble impossible car la tempête s’intensifie et elle oblige les bateaux à se rabattre vers Saint-Valéry sur Somme, en Picardie. Quand la tempête finit enfin, le vent s’arrête totalement et les oblige à y rester trois semaines, qui doivent leur sembler interminables, mais qu’ils occupent donc à réparer, se réapprovisionner et se tenir prêts encore, pour un deuxième départ. Grâce à leurs voiles et à leurs coques faites pour affronter sans difficulté les vagues de la Manche et même pire, la traversée a enfin lieu rapidement et ils arrivent à Pevensay, au sud-est de l’Angleterre, le 29 septembre 1066.
La fin de cette épopée n’a pas eu lieu en mer, mais à cheval. En remontant vers Londres, la Bataille d’Hastings. Harold, l’autre prétendant au trône y a perdu la vie. Si bien que Guillaume le Conquérant a été sacré Roi d’Angleterre, dans l’abbaye de Westminster, le jour de Noël 1066, une date symbolique pour effacer l'aspect "viking", trop barbare. Son règne dura plus de vingt ans, pendant que son épouse, Mathilde, assurait sa régence, en Normandie.
Et c’est la raison pour laquelle la langue anglaise contient de nombreux mots d’origine française. Guillaume le Conquérant en avait imposé l’usage à la cour… comme je l’ai développé déjà, dans la Newsletter d’avril 2025.
Mes conseils de lecture :
Si la vie de Guillaume le Conquérant vous intéresse, je vous conseille de lire ce court livre d’Histoire ou bien cette BD, destinée à de grands adolescents, que vous êtes peut-être restés ? :)
Guillaume le Conquérant de Annie Fettu éditions OREP ISBN 978-2-912925-21-3
Dans les pas de Guillaume le Conquérant, Hastings 1066 de Emmanuel Cerisier, éditions Ecole des loisirs ISBN 978-2-211-09256-2
Les Vikings, navigateurs émérites mais conquérants sans foi ni loi
En fait, le terme de Viking désignait une pratique de l’ensemble des Scandinaves. Oublié à la fin du Moyen-âge, ce terme réapparait durant la Renaissance, au XVIe siècle, grâce aux traductions de leurs sagas. Mais c’est au XIXe siècle, avec les courants artistiques du Romantisme et du Fantastique qu’il devient un ethnonyme désignant les navigateurs scandinaves originaires des actuels Danemark, Norvège et Suède du sud-ouest. Pourtant, entre le VIIIe et le Xe siècle, les « bandes vikings » étaient constituées d'ethnies très variées avec des Francs, des Anglo-Saxons, des Irlandais, des Frisons et des Slaves, ethnies unifiées par des mœurs et des coutumes identiques. Les peuples vikings se déplaçaient toujours en naviguant*, surtout en mer du Nord, dans la Manche et dans l'océan Atlantique pour commercer, mais aussi pour piller, incendier et semer la terreur dans les territoires qu’ils envahissaient sans vergogne.
*Le terme de drakkar aujourd’hui utilisé pour désigner leurs navires, dont la proue relevée arborait toujours une tête de dragon, n’est qu’un barbarisme créé de toute pièce, au XIXe siècle. Il a en effet été construit à partir du terme suédois contemporain : drake = dragon alors que les Vikings employaient, à leur époque, le terme norrois de dreki.
Et un second k a même été ajouté au terme suédois, pour en accentuer l’aspect exotique ! :)
Cette transfiguration du Moyen-âge, fréquente au XIXe siècle, a causé et cause, aujourd’hui encore, une vision très caricaturale et souvent fort sombre d’une longue période qui ne l’a pas toujours été puisqu’elle a duré… dix siècles : du Ve au XVe siècle, en France.
Si vous souhaitez vous débarrasser de tous ces préjugés et découvrir des périodes florissantes du Moyen-âge, je vous conseille : Pour en finir avec le Moyen-âge de Régine Pernoud.
Les « drakkars » : des navires exceptionnels !
Entre le début du IXe siècle et le milieu du XIe siècle, les Vikings ont parcouru toutes les mers européennes, jusqu’à la Méditerranée et au-delà. Ils ont su remonter loin dans les terres grâce à la plupart des fleuves et des rivières d'Europe occidentale et de Russie. Mais cette expansion n'aurait jamais été possible sans la qualité exceptionnelle des navires qu'ils savaient construire.
Même si elle reste encore imparfaite pour nous, la connaissance de ces bateaux scandinaves a progressé grâce aux découvertes archéologiques de diverses embarcations. Le bateau d'Oseberg, retrouvé en 1904, l'un des plus beaux spécimens conservés, celui de Gokstad et ceux de Skuldelev sont tous visibles au Musée des navires vikings à Oslo. Mais vous pourrez découvrir d’autres trésors vikings, en France, à la Cité Immersive de Rouen.
Mais, pour l'iconographie, au premier rang, c’est la Tapisserie de Bayeux qui a apporté le plus d’informations aux historiens !
Parce que vous croyiez peut-être que nous en étions partis bien loin, de cette Tapisserie de Bayeux et de la conquête de l’Angleterre par Guillaume-le-Conquérant, duc de Normandie, devenu Roi d’Angleterre ?
Que nenni ! Nannin !*
(*termes du Moyen-âge, en français et en bas-normand signifiant « Non, pas du tout » !)
En fait, il n'existait pas de bateau-type. L’architecture d’un navire variait selon sa destination : navire de commerce, de cabotage, au long cours, navire de guerre ou d’apparat. De plus, cette architecture navale évolua beaucoup pendant les trois siècles de l’ère viking. Toutefois, quelques points communs ont persisté : la proue et la poupe sont toujours relevées. Leur coque est toujours construite à clins : les bordages se recouvrent, à la manière des ardoises d’un toit. Ces navires remontent très bien au vent car depuis le VIIIe siècle, ils sont propulsés grâce à une voile rectangulaire en laine bouillie et ils sont également équipés d'avirons.
Aujourd’hui, tous les archéologues reconnaissent l'excellence de l’architecture de ces bateaux scandinaves. C'est surtout la souplesse de leur coque, qui étonne. Elle s’explique par les membrures qui ne sont pas fixées à la quille mais au bordé, par des liens d'osier, des lacets de cuir ou, pour les modèles plus tardifs, par des chevilles. Il en résulte que le navire peut affronter la haute mer en se tordant face aux vagues. Outre leur souplesse, les bateaux vikings sont admirés pour leur légèreté : leur coque ne fait que quelques centimètres d'épaisseur. Son tirant d'eau faible, permettait à ces navires de remonter fleuves et rivières. Toutes ces techniques augmentaient leur vitesse, qui pouvait dépasser les 10 nœuds (Environ18 km/h).
C’est ce qui leur a permis de nombreuses invasions et conquêtes, comme celle de la Sicile. Au IXe siècle, ils ont semé la terreur en France puisqu’ils sont parvenus jusqu’aux villes de Rouen, qu’ils ont incendiée en 841, avant d’attaquer Paris, en 845…
Les Vikings naviguaient en haute mer, sans cartes ni instruments, en se basant surtout sur la navigation « au naturel » et quelques techniques rudimentaires. Ils n'utilisaient pas de boussoles ni de compas magnétiques, peu efficaces dans les régions arctiques. Il semblerait qu’ils aient utilisé une « pierre de soleil » pour localiser la position du soleil par temps couvert, à en croire un passage d'une saga sur le roi Olav Haraldsson II. Cette fameuse « pierre de soleil » serait en fait un spath d'Islande, cristal de calcite transparent, assez courant en Scandinavie. Il a la propriété de dépolariser la lumière, en la filtrant différemment selon le pointage. Mais des expériences réalisées récemment ne se sont pas révélées concluantes, leur efficacité dépendant trop de la visibilité de cette lumière. Les seuls instruments de navigation qui ont été retrouvés sont la girouette et des sondes.
Les techniques de navigation des Vikings étaient vraisemblablement basées sur l'observation de leur environnement naturel. La position du soleil leur indiquait les points cardinaux, mais c'est surtout l'observation de la mer, des repères terrestres et des animaux marins qui ont dû leur permettre de retrouver leur cap, en pleine mer. Par exemple, un nombre croissant de macareux annonçait la proximité des îles Féroé. La brusque variation de température de l'eau révélait une entrée dans un courant polaire ; le changement de couleur de l'eau passant du bleu au vert ou la multiplication des icebergs, indiquaient que le Groenland était proche, etc. A l’évidence, les navigateurs vikings connaissaient aussi les courants qui menaient facilement leurs bateaux d'un secteur à l'autre ainsi que le trajet migratoire des baleines. Mais, à ce jour, rien ne nous permet de le prouver scientifiquement.
La navigation le long de la côte norvégienne nécessite une connaissance approfondie des amers naturels et des récifs. De nombreuses caractéristiques naturelles ont dû jouer un rôle pour ces navigateurs. Des noms de lieux : la toponymie, en témoignent. Par exemple, le nom de la péninsule de Lindesnes signifie "endroit où la terre se termine", et les noms comme Lista et Jæren décrivent paysages, bords et falaises. Les Vikings devaient se fier à ces noms pour s'orienter. Des noms d'îles le long de la côte, allant de Bokn à Kunna, sont reconnus, aujourd'hui encore, comme des repères maritimes importants. Cette toponymie révèle donc une excellente connaissance des côtes et de leurs voies maritimes.
Les Vikings semblent aussi savoir que la terre est ronde. Il subsiste un document datant du XIIe siècle qui l’atteste : l'Elucidarium.Ce savoir leur a probablement permis de s’aventurer très loin en mer sans craindre, comme d’autres navigateurs, de « tomber dans l'abîme ». A la même époque, des savants grecs ayant déjà découvert et mesuré la forme sphérique du globe terrestre, il est possible que ce soit leurs échanges commerciaux qui aient permis aux Vikings de la connaître. Plusieurs textes islandais, dont la saga des Groenlandais et celle d'Erik le Rouge, racontent leur découverte, au Xe siècle, de terres situées au-delà du Groenland.
A partir du XIXe siècle, des scientifiques ont donc avancé l'hypothèse que ces navigateurs avaient déjà dû atteindre les rivages de l'Amérique :
les Vikings auraient-ils découvert le Nouveau Continent, environ 500 ans avant Christophe Colomb !?
Malheureusement, ces sagas littéraires, comme la saga des Groënlandais et la saga d’Erik le Rouge ne peuvent pas être considérées comme des sources fiables. On y trouve un trop grand nombre de contradictions, quand on les compare. Les chercheurs préfèreraient donc trouver une preuve matérielle incontestable qui confirmerait cette hypothèse :
En 1898, une pierre runique a été découverte à Kensington, aux États-Unis mais à ce jour, son authenticité n'est pas probante.
En 1930, un équipement guerrier, typiquement Viking, a été retrouvé à Beardmore, en Ontario, mais cette découverte semble être un canular.
Pourtant, au XXe siècle, dans les années soixante, l'hypothèse des Vikings comme premiers découvreurs de l'Amérique a paru confirmée. Un couple d'archéologues norvégiens, Helge et Anne Stine Ingstad, ont découvert des vestiges d'habitations vikings sur l'île de Terre-Neuve. Ce site, l'Anse aux Meadows, se compose de huit édifices : un atelier de menuiserie, une forge, un four et un fourneau. Malheureusement, aucun bâtiment concernant l'agriculture n’a été retrouvé, ce qui paraît étrange pour un village viking. Les autres sites attribués aux Vikings comme la Pointe Rosée n'ont pas été totalement certifiés non plus, même si la datation des objets artisanaux recueillis correspond bien à leur période de l'Histoire : l'Anse aux Meadows en est donc déjà devenue célèbre dans le monde entier et elle s'affirme comme une preuve scientifique, mais qui reste à consolider par de prochaines découvertes : à suivre...
Manifestations et événements prévus ce mois-ci par Carry Voile :
La Formation Techniques de Course et le 2e challenge 2025, prévus le 14 et le 15 novembre ont été reportés à 2026 et le calendrier prévisionnel perturbé. Suivez bien les modifications, nous vous en tiendrons informés sur notre site…
Réponses au quizz du mois d’octobre :
1) Question du régatier, proposée par Denis :
Dans une régate, au près, pour marquer un concurrent de très près, où dois-je me placer ? Devant ; à son vent ; au ¾ de son vent ou sous son vent ? Sous son vent.
2) Question de l’amateur, proposée par Yveline :
Les navires vikings (appelés drakkars au XIXe siècle) avaient des coques particulières, très efficaces pour affronter les vagues. Quel nom donne-t-on à la structure de ces coques ? Vous venez de le lire : c’était une structure à clins, lames de bois se chevauchant comme des ardoises sur un toit.
Quizz du mois de novembre :
1) Question du régatier, proposée par Joël : Qu’est-ce qu’un cunningham sur un voilier ?
2) Devinette pour les amateurs, proposée par Yveline : Tout voilier bien équipé en dispose, je suis une structure de la largeur du bateau, composée de tubes en inox ou en aluminium, surmontée d’une toile épaisse. Qui suis-je ?
Rappel important : les sorties Carry Voile ont lieu le mercredi et le samedi + le dimanche une fois par mois, dates à consulter et inscriptions sur notre site.
Si vous êtes adhérents, vous pouvez vous inscrire 15 jours à l’avance, évitez de le faire à la dernière minute. Mais si vous vous retrouvez en "liste d'attente" ne renoncez pas pour autant : jusqu'ici, aucun candidat à l'embarquement n'a été laissé sur le quai ! :)
Merci aux skippers de prévoir et d'annoncer leurs dates de sorties le plus tôt possible ! Si la météo n’est pas favorable, Denis, responsable des sorties de Carry Voile vous proposera de l’annuler, mais vous restez maîtres à bord de votre voilier, sous votre responsabilité.
Enfin, si vous n’êtes pas encore adhérent mais que vous êtes intéressé pour devenir équipier, contactez-nous : une sortie découverte vous sera proposée pour vous aider à vous décider.
N.B. Les hommes sont les bienvenus évidemment, mais Vive la parité !
Mais comme les hommes sont encore majoritaires à Carry Voile, bienvenue aux femmes.